Cette expérience montre la précision des copies 3D, la possibilité d’exploitation de produits dérivés en matériaux nobles et de nouvelles voies pour la recherche d’aide à l’identification des espèces.
La copie à l’échelle 1 n’a pas de sens si il est possible de le faire en technique traditionnelle (plâtre, silicone). Par contre lorsque l’objet à scanner est fragile ou précieux, cette technique non invasive devient indispensable (Pièce d’archéologie, artistiques, objets mous …).
Il devient tout à fait réalisable d’envisager de faire appel à l’intelligence artificielle pour reconnaître automatiquement les correspondances de formes (à l’aide d’un programme de machine learning).
Compte tenu du rapport qu’Okénite Animation a avec l’Association Géologique Auboise, nous poursuivrons nos recherches en vue de trouver de nouvelles pistes d’études pour la paléontologie, voire l’archéologie.
N.B: Les impressions 3D ont été confiées à la société DiStudio3D à Troyes